Thursday, 30 September 2010

Lord of all!


O Parmananda!

Whether it be the noon or the rising moon
be it the day of fools or the day of doom,

You are the lord who does the trick on
and on,

Trick on one, anyone, someone and everyone....
You play a prank on
all, be a pros or the boss,
you con them all
!


You are great and we are small,
Parmananda! The cunning Lord...
the sunset of this saturday, dont fool us and do spare us all...


(On occasion of Fool's day)

Saturday, 4 September 2010

Ecrire ou ne pas écrire?

L’écriture est certainement une activité bien difficile, au moins, pour moi, c’est le cas. Je me demande comment les auteurs arrivent à exprimer leurs propos avec des précisions voulues. Le fait que ces artistes ne construisent tout un monde entier rassemblant au monde réel qu’à travers les mots, cela me dépasse et je ne les lis que sous un regard admiratif.

L’écriture pour moi est une aventure et quand je suis possédé de ce désir ardent d’écrire, je peux m’arrêter n’importe où, sans penser à ce que les autres penseront de moi. J’ai tendance à me défouler de cette vague de mots aussitôt qu'elle m’envahit. Des fois j’ai bien envie d’écrire des choses, des choses sans grand importance qui me viennent à la tête, sans qu’on demande l’esprit d’en fournir le contenu. D'ailleurs, ce besoin d’écrire n’est que la plupart du temps, éphémère. Il ne se présent qu’un moment. C’est un métro qui attend deux minutes à la station. C’est le train de la motivation et du désir en partance de pays inconnus. Si vous avez la chance d’y monter, vous vous proposez un voyage à travers les belles vallées d’imagination. Vous y goûtez des plats de sensations différentes. Rien n’y est interdit. Or, si vous manquez le train, vous loupez une découverte à tout jamais. Le train est là pour deux minutes. Deux minutes plus tard, la gare est déserte. Le silence, le vent froid, l’horloge noire incessamment mobile avec des aiguilles en lumières vertes fluorescentes, les papiers d’emballage de bonbons, les publicités, les papiers déchirés de journaux, les mégots, les tasses de café en plastique : bref les miettes de l’humanité morte.

Dans les instants qui dirigent le vouloir écrire, les mots s’organisent parfaitement comme une colonie de fourmis. Ils sont, dans ces instants précis, comme la source d’eau naturelle. Ils coulent facilement, sans efforts, remplissant le blanc du papier. Ils créent un monde où se nourrissent la flore et la faune merveilleuse et resplendissante. Dans ces espaces de Noir/Blanc poussent des végétaux de formes différentes. Chaque entité a une vie, une existence chronométrée. Chaque espèce vit d’une hiérarchie dont le contrôle est au-delà de leurs pouvoirs. Les mots vivent de règles conçues par l’homme et dont le fonctionnement les mots ignore. La virgule donne un espoir aux mots qu’ils seront enchainés de suite par leurs confrères. Le point justifie la fin d’un peuple et la reprise de la phrase indique sa renaissance. Les conjonctions font les mariages et unissent des groupes grammaticaux différents et rendent à leur existence commune un certain sens. Quand la motivation resurgit, c’est un moment de jouissance. Or, des fois, justement, c’est le contraire… Le désir d’écrire est poussé par la bonne volonté du cœur et non de l’esprit, et dans ces circonstances, quoi écrire, ça pose un problème à l’écrivain.

C’est ce qui se passe en ce moment, je me suis mis à écrire mon petit blog. Et quand j’ai ouvert un nouveau fichier Word pour la rédaction, je suis exactement comme le blanc de l’écran. Je n’ai plus aucune idée dans ma tête. Aucune couleur de pensée n’y joue. Aucune idée ne s’y promène. C’est comme si l’esprit était en grève et les travailleurs (les nuerons) faisaient une grasse matinée. Les transports publics des idées étaient immobiles. J’ai l’impression que le temps est figé à tout jamais. La tête ne demande rien, donc pas de besoin de manger, de boire, de penser. La vie va continuer sans rien faire mais cela jusqu'où ?

Friday, 3 September 2010

The last train


Old beard, tired legs and the hands shaking,
his feet cold, weary of walking,
Weakened heart and a lonely soul,
sunken face and a threatened phase
comes to catch the train that gave
unrealised dreams and fame.

Noisy Station, but no one around
is this the station where memories abound?
similar faces of unknown heads,
A hard day today now fades...
The last train is yet to come,
It's already left, go home, say some.
another day, come early and you will see,
thousand heads trying to flee.
Sun will rise and so, will the train,
Wait for tomorrow and forget the pain,
For he who walks on an untrodden lane
never dies a life so mundane.

Thursday, 2 September 2010

Le pourquoi de ce blog

L’écriture est certainement une activité bien difficile, au moins, pour moi, c’est le cas. Je me demande comment les auteurs arrivent à exprimer leurs propos avec des précisions voulues. Le fait que ces artistes ne construisent tout un monde entier rassemblant au monde réel qu’à travers les mots, cela me dépasse et je ne les lis que sous un regard admiratif.

L’écriture pour moi est une aventure et quand je suis possédé de ce désir ardent d’écrire, je peux m’arrêter n’importe où, sans penser à ce que les autres penseront de moi. J’ai tendance à me défouler de cette vague de mots aussitôt qu'elle m’envahit. Des fois j’ai bien envie d’écrire des choses, des choses sans grand importance qui me viennent à la tête, sans qu’on demande l’esprit d’en fournir le contenu. D'ailleurs, ce besoin d’écrire n’est que la plupart du temps, éphémère. Il ne se présent qu’un moment. C’est un métro qui attend deux minutes à la station. C’est le train de la motivation et du désir en partance de pays inconnus. Si vous avez la chance d’y monter, vous vous proposez un voyage à travers les belles vallées d’imagination. Vous y goûtez des plats de sensations différentes. Rien n’y est interdit. Or, si vous manquez le train, vous loupez une découverte à tout jamais. Le train est là pour deux minutes. Deux minutes plus tard, la gare est déserte. Le silence, le vent froid, l’horloge noire incessamment mobile avec des aiguilles en lumières vertes fluorescentes, les papiers d’emballage de bonbons, les publicités, les papiers déchirés de journaux, les mégots, les tasses de café en plastique : bref les miettes de l’humanité morte.

Dans les instants qui dirigent le vouloir écrire, les mots s’organisent parfaitement comme une colonie de fourmis. Ils sont, dans ces instants précis, comme la source d’eau naturelle. Ils coulent facilement, sans efforts, remplissant le blanc du papier. Ils créent un monde où se nourrissent la flore et la faune merveilleuse et resplendissante. Dans ces espaces de Noir/Blanc poussent des végétaux de formes différentes. Chaque entité a une vie, une existence chronométrée. Chaque espèce vit d’une hiérarchie dont le contrôle est au-delà de leurs pouvoirs. Les mots vivent de règles conçues par l’homme et dont le fonctionnement les mots ignore. La virgule donne un espoir aux mots qu’ils seront enchainés de suite par leurs confrères. Le point justifie la fin d’un peuple et la reprise de la phrase indique sa renaissance. Les conjonctions font les mariages et unissent des groupes grammaticaux différents et rendent à leur existence commune un certain sens. Quand la motivation resurgit, c’est un moment de jouissance. Or, des fois, justement, c’est le contraire… Le désir d’écrire est poussé par la bonne volonté du cœur et non de l’esprit, et dans ces circonstances, quoi écrire, ça pose un problème à l’écrivain.

C’est ce qui se passe en ce moment, je me suis mis à écrire mon petit blog. Et quand j’ai ouvert un nouveau fichier Word pour la rédaction, je suis exactement comme le blanc de l’écran. Je n’ai plus aucune idée dans ma tête. Aucune couleur de pensée n’y joue. Aucune idée ne s’y promène. C’est comme si l’esprit était en grève et les travailleurs (les nuerons) faisaient une grasse matinée. Les transports publics des idées étaient immobiles. J’ai l’impression que le temps est figé à tout jamais. La tête ne demande rien, donc pas de besoin de manger, de boire, de penser. La vie va continuer sans rien faire mais cela jusqu'où ?

सुना था मेरा खुदा तो सिर्फ मिट्टी मे ही हैं और वो तो सिर्फ मेरा ही हैं जो इस मिट्टी मे हैं ना जाने कितनी सदिया वो मुझे देखकर बोले, तु म...